Chroniques culinaires

Vos anecdotes des Fêtes !

Billet de blogue par
Vos anecdotes des Fêtes !

Vos anecdotes des Fêtes ! Auteur : Recettes du Québec

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Vos anecdotes des Fêtes !

Billet de blogue par

Chers lecteurs, Tout au long du mois de décembre, consultez les anecdotes des Fêtes de nos membres !

 

Une année où j'étais plus jeune, c'était mon tour de recevoir la famille... Ne sachant pas trop quoi faire, j'ai décidé de me lancer dans la cuisson d'une dinde, aussi petite soit-elle. Je la nettoyai, je la farcis sommairement avec oignons et autres éléments...Toute belle et prête, j'allumai le four afin de la faire cuire doucement pendant la nuit. Au lieu d'indiquer le cadran à cinq heures, j'ai poussé une fois de trop le bouton des heures... 55:00 heures ! À mon réveil, la dinde était trop cuite, bien évidemment ! Joyeux temps des Fêtes! Geneviève Lacoste  

 

J’ai essayé de faire des beignes. Toute ma recette était parfaite, mais lorsque venu le temps de les faire cuire, j’ai fait chauffer l’huile, déposé les beignes un à un et tous les beignes se sont désagrégés dans l’huile. Alors j’ai pensé que j’aurais dû prendre de la graisse. J’ai tout nettoyé, fait chauffer la graisse, mais le même résultat s’est produit. Tout c’est défait dans la graisse, pourtant, lors de la cuisson, les beignes gonflaient. Comme ils étaient beaux ! Toutefois, dès que je les prenais avec les pinces... catastrophe ! De la vraie bouillie ! J’ai passé six heures à faire, défaire et nettoyer et je n’ai pas fait de beigne depuis ce temps ; soit exactement 47 ans ! C’était l’expérience culinaire la plus négative ! J’avais 19 ans et c’était la recette de ma tante qui réussissait toutes ces recettes. Nicole Deneault

 

Mon anecdote des Fêtes est plutôt cocasse et drôle ! En effet, il y a deux Noël, mon conjoint m'aidait pour le service en s'occupant de réchauffer les pâtés à la viande au four. Quelle ne fût pas notre surprise, lorsque tout le monde fut attablé, de découper un succulent pâté qui s'est plutôt avéré être une succulente tarte au sucre ! Ha! Ha! On a mangé du sucré avec l'assiette principale et du salé pour le dessert !  On en rit encore ! Joyeuses Fêtes à vous tous ! Josée Lachance  

 

Voici ma petite histoire qui dure depuis quelques années. Chaque année, je reçois mes enfants et petits enfants pour le souper de Noël. Depuis quatre ans environ, probablement pour cause trop de choses à faire en même temps, j’oublie mes petits pains dans le four. Trop tard ! Ils sont trop brûlés et pas de petits pains pour souper... Direction poubelle ! Cette année, c’est mon fils qui reçoit et, croyez-moi, il m’a dit... Chère maman, soit certaine que cette année on aura des petits pains chauds pour le souper puisque tu ne seras pas en charge. Hihihi ! J'ai bien hâte de voir ça ! Jojobel

 

Après un bon réveillon en famille, j'étais occupée à nettoyer dans la cuisine pendant que ma petite fille de quatre ans était au salon à boire tous les fonds de verres qui traînaient sur les tables. Il était trop tard quand je l'ai aperçue... Ma fille était aussi saoule que l'oncle qui a chanté toute la veillée ! Joyeuses Fêtes ! Sakya

 

Incroyable comme Noël et bouffe sont intimement liés durant le temps des Fêtes ! Nous sommes dans l’abondance en cette période. Nous sortons nos livres de recettes et cuisinons pour les nôtres. Du plus loin que je me rappelle, ma grand-mère maternelle Desneiges qui aurait aujourd’hui 115 ans,  nous recevait tous pour un repas traditionnel avec la dinde, la tourtière et le ragoût.   Elle a eu 21 enfants.  Pas besoin de mentionner les longues tablées et la quantité de bouffe qu’il y avait à préparer pour l’occasion.  Du côté paternel, ma grand-mère, Marianne, était de loin la meilleure cuisinière. Comme la famille n’était pas nombreuse, nous étions choyés. Le plus beau souvenir que j’en ai, c’est quand mon grand-père nous envoyait chacun se chercher une bouteille de liqueur à la saveur de notre choix :  orange, nectar, crème soda blanc ou rose, etc…Imaginez notre bonheur, il n’y avait pas de liqueur à la maison.  C’était l’abondance dans tout. Ma mère a perpétré la tradition et aujourd’hui, à 92 ans et en forme, elle nous reçoit dans ma maison pour le souper du jour de l’An, ainsi c’est comme si c’était elle qui recevait.  Nous  sommes environ 30.  En novembre, elle vient à la maison et nous commençons à préparer les tourtières, le ragoût, les tartes, les biscuits,  etc… Elle fait encore son pain de ménage à la main !  Pas question que l’on n'en ait pas… Dans notre famille, la période des Fêtes est importante, elle donne lieu à de belles rencontres.  Et le plus beau est que la relève est assurée. Pier

 

 

Pour le temps des Fêtes, je prépare toujours plusieurs desserts. Toutefois, comme je ne suis pas Crésus, chaque quantité compte et je fais une liste de tout ce dont j’ai besoin. J’emballe ensuite mes quantités pour le moment où je confectionnerai mes "cochoncetés", comme je les appelle.  Cette journée-là, c’est le tour des bâtonnets magiques qui contiennent beaucoup d’éléments :  lait concentré sucré, pépites de chocolat, noix de coco râpée, chapelure de biscuits... Je suis donc la recette et mets le tout au four.  Une fois la cuisson terminée, j’enfile mes mitaines et je le sors précautionneusement...  Jusqu’à ce que pousse un cri de mort et que le dessert en question fasse un triple salto arrière en s'effondrant gracieusement sur le plancher de linoléum.  Il y avait un beau trou dans la mitaine de droite... Saviez-vous que ça fond plutôt facilement du plancher de linoléum? J’avais la larme à l’oeil... Il faisait -30°C et ma mère est partie racheter tout ce dont j’avais besoin pour en faire un autre.  Gros bisou maman ! Majorie Gagnon Alias TomateCerise  

 

Voici ma petite histoire... Je me prépare pour faire des muffins avec une de vos recettes. Ma pâte préparée, il ne me reste qu'à graisser les moules. Je me retourne et j’aperçois que ma pâte bouge... Ma perruche, Choupette, avait plongé dans la pâte ! Je me suis hâtée de la sortir de là. Elle battait des ailes et il y avait de la pâte partout dans la cuisine et sur moi, quel dégât ! J'ai dû la passer sous l'eau et j'ai failli la perdre. Assise par terre pleine de pâte, je pleurais tandis que mon mari et mon fils étaient morts de rire. Maintenant, à chaque fois que je fais des muffins, je pense à cette anecdote et j'en ris ! Solange

 

En décembre, Marie fait sa recette habituelle d'une dizaine de douzaines de beignes et les met à l'extérieur sur son patio arrière, bien abrité pour l'hiver. Le froid les congèlera. Ses beignes sont dans un gros contenant, genre poubelle (propre). Marie est réputée pour faire d'excellents beignes. Marie est infirmière dans un hôpital d'une petite municipalité où tous se connaissent.  Le lundi, à la pause-café, on se raconte nos activités du dernier week-end. L'activité "beigne" de Marie n'a pas été racontée dans l'oreille d'un sourd ! Jean-Claude, qui connaît bien Marie, a décidé de lui jouer un tour. Le lendemain, à la pause-café, devinez ce qui a été servi comme "spécial du jour": des beignes... Et Marie de s'écrier:" Mais, ce sont mes beignes !" Tout le monde s'est régalé et a bien ri... Marie a pardonné à Jean-Claude... Ghislaine Martin (Cocinette)

 

Depuis 35 ans, c'est moi qui reçois ma famille immédiate et ma belle-famille.  Nous sommes de plus en plus nombreux, même si nous avons perdu nos pères. Cette année, nous serons 18 personnes autour de la table ! Voici ma petite histoire... Ça s'est passé un 23 décembre, vers 20h00, où j'ai décidé de nettoyer mon four avec l'autonettoyant avant d'y enfourner ma dinde le 24 au matin. Tout en feuilletant des recettes, j'entends un boum vers le four. Je me retourne et vois une flamme qui s'éteint après quelques secondes. Je me dirige vers la porte du four et je suis incapable de l'ouvrir, car tout est électronique. Je reçois le lendemain une quinzaine de personnes pour le réveillon et j'ai une dinde de 20 livres à faire cuire... Le lendemain, j'appelle en urgence la compagnie afin qu'on m'envoie quelqu'un pour réparer tout ça ; ce qu'ils ont pu faire, mais à quel prix ! Ma garantie s'était terminée trois semaines auparavant. Finalement, cette petite histoire s'est bien terminée. J'ai pu faire cuire ma dinde et réchauffer mes tourtières à temps ! Diane Delisle Scandella

 

Mon histoire n'était pas très drôle ce Noël-là. Après avoir fait cuire ma dinde toute la nuit, je l'ai déposée sur le balcon afin qu'elle refroidisse. Toutefois, alors que je faisais les derniers préparatifs pour mon souper, je ne me rendis pas compte que mon chien demandait souvent la porte... Il ne me restait plus qu'à désosser la dinde, mais quelle fut ma surprise lorsque je sortis sur le balcon. Le couvercle de ma rôtissoire était sur le côté et ma dinde, à moitié mangée ! Je peux vous confirmer qu'il y avait beaucoup de patates, de sauce, de pains et de desserts pour le souper ! Bref, je n'ai jamais remis une dinde à l'extérieur ! Ghislaine  

 

Depuis plus de 20 ans, je cuisine un dessert ; les surprises aux cerises. Dans une pâte au beurre et à la noix de coco, je forme des boules et j'y insère des cerises vertes ou rouges. Ensuite, je roule le tout dans de la chapelure de biscuits Graham. Lorsque mes deux filles étaient petites et qu'elles mangeaient ces surprises aux cerises, elles embrassaient papa s'il elles trouvaient une cerise verte et embrassaient maman si elles trouvaient une cerise rouge. Maintenant, elles ont 26 et 30 ans et cela fonctionne toujours ! Le jeu est une belle complicité pour toute la famille ! Noëlla Gagnon La Sarre

 

Le soir du 25 décembre, je recevais toute la famille pour le souper. Tout était prêt et réchauffait lentement jusqu'au moment venu. La dinde avait été tranchée en beaux morceaux et reposait dans un plat en pyrex,  les légumes étaient cuits, les salades prêtes alors que les tourtières étaient dans le four. Soudain, on entendit un gros "paf" ! C'était le fameux plat de pyrex qui avait explosé en mille miettes ; probablement dû au froid et au chaud. Une belle dinde à la poubelle… Heureusement, il restait les tourtières et le reste. Quelle déception ce fût, mais on s’est régalé quand même. Fini les plats de pyrex pour moi ! Joyeuses Fêtes  à tous ! Louise Cyrenne

 

Noël se fête chez ma sœur et tout le monde vient ; de ma mère de 87 ans aux neveux de 3 ans. Nous sommes une joyeuse bande de trente convives qui essayent de nouvelles recettes à chaque année. Chacun apporte sa contribution, soit des légumes ou autre plat cuisiné. Moi, ce sont les desserts et ils sont bien appréciés. Il y a deux ans, je n'avais pas eu le temps d'en faire autant et, à la dernière minute, j'ai dû improviser... J'ai un neveu qui est très friand de chocolat donc, comme toutes les autres années, il se sert généreusement de desserts. C'est alors qu'il se rend compte finalement qu'il y avait du gâteau aux fruits camouflé dans du chocolat. Nous avons eu bien du plaisir à lui voir la binette quand il a pris sa première bouchée ! Depuis ce temps, il vérifie avant de remplir son assiette ! Johanne Ledoux

 

Mon fils et son amie sont venus souper. Par la même occasion, je leur ai annoncé que notre perroquet était décédé.  Au même moment où je déposais le poulet sur la table, il m'a demandé ce que j'avais fait avec son corps. Lui et son amie ont regardé le poulet et vous auriez dû voir leurs visages.  La triste nouvelle s'est vite transformée en éclats de rire. P.S.  Le poulet était authentique! Diane Schofield

 

Voici mon anecdote, elle met en scène les incompétences culinaires de mon conjoint... La veille de ma réception de Noël, j'avais fait cuire ma dinde afin d'utiliser la carcasse pour concocter un délicieux bouillon que je souhaitais servir en entrée. Après avoir désossé la volaille, j'avais mis les os avec des légumes et un mélange d'épices dans une casserole, lesquels je devais faire bouillir durant plusieurs heures. Prise de sommeil, je demandai à mon conjoint, qui veillait avec un ami, s'il pouvait s'occuper de retirer du feu le bouillon une heure plus tard et ensuite le passer au tamis avant de ranger les plats au réfrigérateur. Il accepta. Le lendemain matin, à mon réveil, je m'assurai que mon conjoint avait bien mis le bouillon au froid.  J'ouvris donc le réfrigérateur et constatai qu'il y avait bel et bien des contenants... Toutefois, le nombre élevé de pots me surprit, je ne pouvais croire que j'avais une aussi grande quantité de bouillon. En ouvrant l'un d'eux, je constatai qu'il contenait les os ! Mon conjoint avait passé le bouillon au tamis mais au-dessus de l'évier.  Son ami lui avait demandé ce que sa femme faisait avec tous ces os et mon conjoint lui avait répondu qu'elle en faisait un délicieux bouillon.... Cette anecdote, même après des années, est toujours évoquée avec autant de fou rire que lors de la première fois où elle fut racontée. Sophie Sarda    

Quand je fais mes pâtés et mes tartes, je porte toujours mon tablier, le même depuis 27 ans, et je prends mon rouleau en marbre. Ma grande fille de 25 ans se souvient que lorsqu'elle était petite, elle portait son petit tablier et roulait la pâte avec moi. Toutefois, il y a quelques semaines, elle m’a téléphonée en me disant qu’elle avait fait la même recette de pâte à tarte que moi, mais qu’elle n’était pas aussi bonne que la mienne. Pourtant, je lui avais donné ma recette et c’est alors que je lui ai demandé : As-tu mis ton tablier et roulé la pâte avec un bon rouleau en marbre? Je suis donc partie à toute vitesse au marché pour acheter un tablier et un rouleau en marbre. Et voilà ! Elle réussit maintenant cette recette transmise par ma mère, donc de mère en fille… que de bons souvenirs ! Joyeuses Fêtes et vive les bons pâtés faits maison ! Gigi  

 

Le 24 décembre au matin, ce n'est pas le moment d'essayer une recette que l'on n'a jamais faite. Je me prépare à faire une bûche de Noël, recette d'une marque de produits alimentaires. Le gâteau cuit et tout est sous contrôle. C'est plutôt lorsque vient le temps d'assembler la bûche… Ouf ! J'avais pris toutes les précautions nécessaires en roulant le gâteau dans un linge.  Toutefois, lorsque j'ai étendu la préparation pour l'intérieur et ai voulu rouler le tout, ça ne roulait pas rond ! La mie du gâteau craquait et il était trop moelleux. La bûche s'est donc fendue et la garniture coulait partout par les fentes. Un désastre ! La catastrophe, le dessert pour le réveillon était manqué. Pas besoin d'une hache pour la fendre ni d'une sciotte pour la déguster, elle était en purée ! Heureusement, tous y ont goûté et la saveur était sublime. C'était plutôt l'allure qui n'y était pas… Chose certaine, on ne me demande plus de bûche pour le réveillon ! Je m'en tiens plutôt à ce que j'ai testé quelques semaines avant, car ça ne peut pas être à tous les Noël le dindon de la farce ! Fini les bûches de dernière minute ! Caroline Sirois, La Tuque

 

 

Il y a de cela quelques années, au tout début de mon mariage, faire un souper de Noël était pour moi toute une affaire. Ma belle-famille étant espagnole et ma belle-mère, une cuisinière hors pair. Alors je me reporte en arrière. Au début décembre, je décide que mon souper sera traditionnel et consistera en une dinde avec tout ce qui l'accompagne. Durant la semaine de Noël, après mon travail, je prépare les petits radis et céleris en fleurs. Deux jours avant Noël, je cours chez le fleuriste pour mon centre de table et, la veille, tous mes plats sont prêts au réfrigérateur. Mon conjoint avait une pâtisserie/boulangerie et tous mes desserts étaient prêts, sauf la dinde. Le matin de Noël, je mets cette chose au four en suivant les indications de cuisson. Ma table est très jolie avec toute cette belle vaisselle et mon centre de table. Ma belle-famille et ma famille sont de la partie et le moment est venu de sortir la dinde. Alors, sur une belle grande assiette, mon mari la dépose avec légumes, farce, etc. Il commence à la dépecer et me demande discrètement si j'avais enlevé le cou et le sac des abats. Hum ! Il y a sac et un cou là-dedans ? Il est parti à rire, pas trop fort, car si mon beau-père avait entendu cette phrase il aurait bien ri... mais de moi ! Enfin, cette petite anecdote m'a suivie. Andrée Comas

 

Il y a une dizaine d’année je recevais ma belle-famille venue spécialement de France pour le réveillon de Noël. À la demande de mon conjoint, la traditionnelle dinde était au menu. Tout était prêt à réchauffer sauf la grosse dinde que je prévoyais mettre au four vers les 17 heures, histoire que les invités soient accueillis par une bonne odeur. À la dernière minute, soit le 24 vers les 17 heures,  je prépare ma dinde,  j’allume le four et… rien ! Le four ne fonctionne plus ! L’homme appelé en renfort ne peut rien changer non plus…   Au bord des larmes, je deviens carrément furieuse lorsqu’un sourire apparaît sur ses lèvres. Il quitte la pièce et reviens avec une grosse boîte en me souhaitant un joyeux Noël. Incrédule, je découvre à l’intérieur une grosse rôtissoire électrique. Jamais je n’avais émis le désir d’avoir ce genre d’outil de cuisine ! Il faut croire que le Père Noël savait… Joyeux Noël à tous et toutes ! Ho Ho Ho Aliénore

 

 

C’est le 21 décembre 2011, J’étais en train de préparer la pâte pour les biscuits et  les  biscottes de Noël. La pâte des Pannetons était prête, mais en train de lever. Dans la cuisine et dans la maison on sentait que les Fêtes approchaient. Ma plus jeune, qui avait à ce moment presque 6 ans, me regardait  très attentivement. J’avais l’impression qu’elle me regardait comme on regarde une émission à la télé. Elle me dit finalement qu’elle veut  fabriquer aussi des biscuits à elle. Je  sors son tablier, car sans ce n’est pas pareil, et elle décide  les ingrédients importants pour ses biscuits. La suite des préparations se déroule comme dans toute bonne cuisine, elle mesure le sucre, la farine, le beurre, les pépites de chocolat… la pâte est prête. Elle graisse légèrement la plaque à biscuits et dépose  avec une cuillère des petites boules de pâte. On les met au four. Elle attend sur une chaise devant le four (lumière intérieure allumée) que les biscuits cuisent. Elle rompt ce moment de patience en disant : «Maman, j’ai bien réfléchi, quand je serai grande je veux être le Père Noël. Lui il mange des biscuits dans toutes les maisons et il n’a pas besoin d’attendre qu’ils soient cuits.» Rinda Hartner

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